• Les poissons divers 001

    Les poissons divers

    Il existe de nombreux types de poissons de mer que l'on peut consommer, chacun avec ses propres caractéristiques gustatives et nutritionnelles. Voici quelques exemples populaires :

    1. Saumon : Le saumon est une source de protéines de haute qualité, riche en oméga-3 et en vitamines B12 et D. Il peut être cuit de différentes manières, telles que grillé, fumé ou en conserve.

    2. le Tacaud ( ou la plouse)

           Les poissons divers 001

    3. Thon : Le thon est un autre poisson de mer populaire, souvent consommé en conserve ou en boîte. Il est également une source de protéines de haute qualité et contient également des oméga-3.

    4. Sole : La sole est un poisson mince et plat, souvent apprécié pour sa texture délicate et son goût subtil. Il peut être cuit de différentes manières, comme grillé ou poché.

    5.    le Saint-Pierre ou (jean dore)

       

           Les poissons divers 001

    6. Sardines : Les sardines sont souvent consommées en conserve, mais peuvent également être fraîches. Elles sont une source de protéines et de nutriments importants tels que les oméga-3, les vitamines B12 et D.

    7. Anchois : Les anchois sont souvent consommés en conserve, en apéritif ou en salade. Ils sont riches en protéines, en oméga-3 et en sel.

    8. Eglefin ou Aiglefin

       

           Les poissons divers 001

    Il est important de consommer des poissons de mer de manière raisonnable pour minimiser les risques pour la santé liés à la consommation de poissons contenant des niveaux élevés de métaux lourds et de contaminants environnementaux. Il est également important de choisir des sources de poissons durables pour préserver les populations de poissons et les écosystèmes marins.

     

     

     

     

                         

     

     

     

                          

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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                                                                           le cabillaud

     

    Les poissons divers

     

     



    Nom scientifique : Gadus morhua (linnaeus - 1758)

    Nom vernaculaire français : Morue - Cabillaud - Doguette

    Nom vernaculaire anglais : Atlantic cod

    Famille :Gagidae Ordre :Gadiformes Classe : Osteichthyens

    Description : ce gros gadidé proche parent du merlan auquel il ressemble fortement, se distingue par son long barbillon au niveau de son menton. Les petites morues sont généralement plus mouchetées que les adultes. Une ligne latérale traverse tout son flanc, cette ligne est caractéristique chez les poissons de la famille des gadidés comme le merlan ou le lieu jaune.
    Reproduction : la morue se reproduit de janvier à avril. La morue atteint la maturité sexuelle vers 3 ou 5 ans. Les femelles pondent plusieurs millions d’œufs ( environ 500 000 par kilo de femelle ).
    Croissance : selon l’IFREMER , la morue a une croissance assez rapide : 36cm à l’âge de 1 an, 42cm à 2 ans, 62cm à 3 ans.

    Régime alimentaire : les jeunes morues consomment essentiellement des crustacés ( crevettes - crabes ), des vers marins et des petits poissons. Les adultes se nourrissent de proies plus imposantes : tacauds, harengs mais aussi jeunes morues.

    Taille : jusqu’à 1,80 m

    Taille minimale de capture autorisée (maille) et législation :

        CABILLAUD - Gadus morhua
        Arrêté TRAM1240353A du 29 janvier 2013 :
        Mer du Nord, Manche, Atlantique : 42 cm
        Méditerranée : -
        Règle de mesure : Longueur de la pointe du museau à l'extremité de la nageoire caudale
        Arrêté AGRM1107007A du 17 mai 2011 :
        Marquage obligatoire : Oui, ablation de la partie inférieure de la nageoire caudale
        Prélévement Maximum Autorisé pour les zones suivantes :
        Arrêté 73/2013 du 3 juin 2013 :
        Manche Est et Mer du Nord : Nord - Pas-de-Calais, Picardie, Haute-Normandie et Basse-Normandie
        Quota : Oui, 6 par pêcheur embarqué et par jour, 20 par navire et par jour, transbordement interdit
        Décret n° 2014-1608 du 26 décembre 2014 :
        Au sens du présent livre, est autorisée comme pêche maritime de loisir la pêcherie non commerciale et dont le produit est destiné à la consommation exclusive du pêcheur et de sa famille et ne peut être colporté, exposé à la vente, vendu sous quelque forme que ce soit, ou acheté en connaissance de cause.
    Nous vous recommandons de ne conserver que les individus de plus de 60 cm relâcher les gros - Ils se seront au moins reproduit une fois.

    Législation spécifique à l’espèce :

    - ARRETE N° 08-139 Limitant les captures de cabillaud (Gadus morhua) effectuées à partir de navires ou embarcations de plaisance en Manche (zone CIEM VIId)

    - ARRETE N°48/ 2009 limitant les captures effectuées à partir de navires autres que ceux titulaires d’un rôle d’équipage de pêche en Manche et en mer du Nord

    - Arrêté du 17 mai 2011 imposant le marquage des captures effectuées dans le cadre de la pêche maritime de loisir

    Préférences :la morue se retrouve sur différents fonds, rocheux, sablonneux et même vaseux. Elle fréquente les eaux froides comprises entre 2 et 10°C.

    Périodes et techniques de pêche : les morues se rapprochent des côtes durant l’hiver de septembre-octobre à février pour se nourrir de crevettes grises et de gobies ( petits poissons transparents que l’on trouve régulièrement dans les filets à crevettes ). On peut alors les pêcher en surf casting ou à la calée à partir d’une jetée. En bateau, la morue reste une prise courante.


    Proies couramment retrouvées dans l’estomac (contenu stomacal) :

    - Crevette grise : entières
    - Arénicole : entières
    - Couteau : pieds de couteau
    - Crabe vert : petits crabes vert entiers
    - Sole : sole juvénile
    - Gobie de sable : entier
    - Spisule (coquillage) : entiers

    Menaces pesant sur l’espèce :

    Si elle est "courue la pêche à la morue", le poisson se fait de plus en plus rare, victime de la surpêche. Pêchée pendant des siècles, la morue qui a enrichi des ports entiers est une espèce en danger. Aujourd’hui, on ne pêche que des exemplaires de petites tailles ( autour de 40 cm ) alors qu’il y a encore une dizaine d’années des morues de 4kg ou plus pouvaient se prendre au surf casting par exemple. Malgré l’arrêt total de l’exploitation de cette espèce, le Canada ne voit pas la ressource se régénérer. L’élevage de la morue a été mis en pratique pour répondre à la demande, ce sont d’abord les pays nordiques qui ont investis dans l’aquaculture de cette espèce, la France tente à son tour de s’investir dans cette pratique.
     

     
                                       

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                                                                 lieu noir                             

    Les poissons divers

                                                   

                                            

     

    caractéristique du lieu noir

    Le lieu noir, qui appartient à la famille du cabillaud, évolue aussi bien près de la surface que sur les fonds marins jusqu’à 300 mètres de profondeur. Les lieus noirs vivent en bancs et se retrouvent en très grand nombre dans les zones riches en nourriture. Le stock norvégien de lieu noir est divisé en deux groupes, de part et d’autre du 62e parallèle.

    Le lieu noir atteint sa maturité sexuelle à l’âge de 5-6 ans et se reproduit en hiver (avec un pic en février), le long de la côte de Norvège, entre les îles Lofoten et la mer du Nord. Après la période de frai, les juvéniles dérivent vers le nord au gré des courants. Les petits lieus noirs font leur apparition dans le sud et l’ouest de la Norvège au printemps et arrivent au large de la côte du Finnmark au mois d’août seulement. Ils migrent sur de longues distances depuis leur zone d’alimentation et de croissance. Ils peuvent vivre pendant plus de 30 ans.
    Métode de pêche

    La pêche au lieu noir se déroule toute l’année le long de la côte de Norvège. Le plus souvent, les pêcheurs utilisent le chalut de fond, la senne coulissante, le filet maillant, la senne danoise et la ligne à main.
    Consommation

    Vendu frais en entier ou en filets ; surgelé en filets ; salé et séché (klipfish)
    Régime alimentaire

    Copépodes, krill et autres crustacés pélagiques ; hareng, sprat, merlan bleu, églefin juvénile et tacaud norvégien.
    Valeur nutritionnelle

    Le lieu noir est particulièrement riche en :

        Protéines, qui construisent et entretiennent les cellules de notre corps.
        Vitamine B12, essentielle pour la formation des cellules, y compris les globules rouges. La vitamine B12 contribue également à prévenir l'anémie.
        Sélénium, élément important d'une enzyme qui lutte contre les processus chimiques nocifs dans l’organisme.

     

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                                                                      Le Flétan

                                                    

                                                             

    Les poissons divers

     

     

    caractéristique du Flétan

    Le flétan du Groenland est un poisson de fond qui prospère dans les eaux froides. C'est une excellente source d'acides gras oméga-3 et de vitamine D. Il est pêché au printemps et en été et, comme tous les poissons gras, il est toujours soit fumé soit salé. On le sert généralement accompagné d'une sauce blanche et de légumes cuits à l'eau.


    Valeur nutritionnelle pour 100 g de flétan du Groenland cru (partie comestible)

    Énergie : 645 kJ or 155 kcal

     

    Nutriments :

    Protéines : 14 g

    Matières grasses : 11 g

    Acides gras saturés : 1,7 g

    Acides gras trans : 0 g

    Acides gras monoinsaturés : 6,9 g

    Acides gras polyinsaturés : 1 g

    Cholestérol : 74 mg

     

    Glucides (total) : 0 g

    Vitamines :

    Vitamine A : 10 ER

    Vitamine D : 9,1 µg

    Riboflavine : 0,06 mg

    Folate : 5 µg

    Vitamine B12 : 0,7 µg

    Minéraux :

    Fer : 0,1 mg

    Sélénium : 60 µg




    Le flétan du Groenland est un poisson arctique qui vit dans des eaux froides ne dépassant pas 4°C. Sa zone de reproduction s'étend de la pointe de l'archipel des Lofoten à l'île du Spitzberg, à une profondeur de 500 à 800 mètres. La reproduction se déroule en hiver, et les œufs et les larves sont emportés par les courants sur une zone très étendue. Vers la fin de l'été, les jeunes flétans se posent sur les sédiments des fonds marins et y restent pendant 3 ou 4 ans. Une fois devenus adultes, ils migrent vers le bord du plateau continental et s'avancent au plus profond de la mer de Barents. Le flétan du Groenland peut vivre plus de 30 ans.
    Méthode de pêche

    La pêche du flétan du Groenland se déroule au bord du plateau continental, au niveau de l'île du Prince-Charles dans l'archipel du Svalbard, et se pratique au chalut de fond, à la palangre et au filet maillant. La pêche est limitée de façon à protéger le stock.
    Consommation

    Vendu fumé ou salé ; en filets.
    Régime alimentaire

    Crevette, capelan, morue polaire et déchets de poisson
    Valeur nutritionnelle

    Le flétan du Groenland est particulièrement riche en :

        Protéines, qui construisent et entretiennent les cellules de notre corps.
        Acides gras oméga-3, qui préviennent et réduisent le développement de maladies cardiovasculaires, et qui ont une action bénéfique sur le cerveau.
        Vitamine D, indispensable à l'absorption du calcium, qui entretient et fortifie nos os.
        Sélénium, élément important d'une enzyme qui lutte contre les processus chimiques nocifs dans l’organisme.

     

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                                                                          Le merlan

     

    Les poissons divers

     

              

     

    caractéristique du merlan

    Le Merlan ou Nazalli  MERLAN (Merlangus merlangus)
     
     Le merlan a un corps allongé, dont la couleur (brun au bleu-vert) est variable suivant l'habitant fréquenté, est orné comme les autres membres de cette famille de 3 nageoires dorsales et de 2 nageoires anales. Sa ligne latérale est foncée. Le merlan est identifiable à la tâche noire qui marque la base de ses nageoires pectorales. De plus ses dents sont longues et pointues.
    Le Merlan bleu (Micromesistius poutassou), qui se trouve souvent dans les mêmes eaux, possède une machoire inférieure proéminente et a pour caractéristique visible d'avoir des nageoire dorsales plus courtes et surtout éloignées l'un de l'autre. Sa longeur maximale est estimée à quelques 50 cm et il est démontré qu'il vit souvent à des profondeurs plus importantes que le Merlan commun.
    Le Merlan de Mer noire (Merlangus merlangus euxinus) est une sous espèce du Merlan commun, et a pour signe distinctif de porter un barbillon sous le menton qui reste bien visible.

    Implantation
       
    Bien implanté en Mer du Nord et en Manche, le merlan étend son aire d'implantation du nord de la Norvège jusqu'au sud du golf de Gascogne.

    Mode de vie
       
    Il fréquente les eaux fraiches à quelques 200 mètres de fond où il vit en banc. Sur les côtes on trouvera surtout les plus jeunes d'entre eux. Le merlan, trés actif à l'aube et au crépuscule. Le frai intervient surtout au début du printemps et à des profondeurs comprises entre 30 et 100 mètres.
    Les plus jeunes se nourrissent de crevettes grises, de crustacés, tandis que les adultes, plus voraces, chassent les petits harengs, les équilles et les lançons et rejètent pas de se mourrir de larves de leur propre espèce.


    Pêche
       
    La pêche à soutenir à partir d'un bateau au mouillage est souvent un bon moyen pour pêcher le Merlan.
     
    Utiliser une canne de 2,70 m équipée d'un moulinet comprenant du fil de 40/100. Le bas de ligne comprend à son extrémité un plomb de 100/200 g. Vous pouvez équiper votre ligne de 4 ou 6 avançons d'une dizaine de centimètre en 45/100. Attention, lors des concours seuls 3 hameçons sont autorisés.Comme appâts, l'arénicole ou un morceau de maquereau ou de hareng connaitront un beau succès.

     

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                                                                      la rascase

     

    Les poissons divers

     

     

     

    caractéristique la rascase

    Caractéristiques comparatives
    Autres noms      Petite Rascasse rouge
    Taille moyenne adulte      15 cm
    Mode de reproduction      sexes séparés
    Période de reproduction      de mars à juillet
    Fécondité


    Distribution géographique

    Méditerranée, mer Noire, Atlantique Nord-Est
    Zones DORIS : Méditerranée, Atlantique, Manche et mer du Nord

    La rascasse brune est présente en Méditerranée, en mer Noire ainsi que dans la partie est de l’Atlantique, des îles Britanniques aux Açores, dans les îles Canaries et sur les côtes Marocaines.
          
       
    Dorsale      XII, 9 à 11
    Anale      III, 5 à 6
    Pectorales      18
    Pelviennes      I, 5
    Caudale      14 à 16, arrondie
       
    Ligne latérale      43 à 46 cailles
    Écailles      cténoïdes
    Dentition      

    Description:

    Caractéristiques identiques à celles des autres Rascasses. Les lambeaux cutanés sont absents autour de la mâchoire inférieure, très courts sur les arcades orbitaires, mais présents sur l'ensemble du corps. Le museau est assez court et les opercules porteurs d'épines.

    Ses couleurs sont plus vives que celles de la Rascasse brune et plus portées vers le rouge orangé. Les flancs sont parés de petites taches claires. L'ensemble peut être marbré de plaques brunes.

    Mode de vie:
    La Rascasse pustuleuse vit dans la roche de la zone infralittorale et se tient souvent dans des cavités abritées de la lumière. 



    Reproduction - Multiplication

    L'espèce est gonochorique*, c'est à dire que les sexes sont séparés. La taille, la durée de vie et le taux de croissance diffèrent selon les sexes. La maturité sexuelle est atteinte vers 3 ans. Les mâles sont plus petits que les femelles. La saison de reproduction s’étend du mois de juin au mois de septembre. Les femelles peuvent pondre jusqu'à 200 000 œufs, qui sont agglomérés dans une masse gélatineuse.

     

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                                                                 Le Mulet

     

     

    Les poissons divers

     

    caractéristique Le Mulet

    Taille réglementaire

    Atlantique, Manche, Mer du Nord : 30 cm
    Méditerranée : ?
    Milieu de Vie

    Le mulet est un poisson qui se déplace souvent en banc de plusieurs individus et nage dans le courant. On le retrouve dans toutes nos régions en pleine mer, sur les côtes, dans les estuaires et même dans les ports où la nourriture est abondante.

    La période de reproduction (Atlantique et Manche : Novembre et Décembre) est propice à l’observation de grands bancs de mulets à proximité de la surface de l’eau dans des zones rocheuses et protégées. A cette période les mulets sont aussi moins méfiants vis à vis des chasseurs sous-marin.
    Caractéristiques

    Les plus gros spécimens mesurent près de 70 cm et peuvent peser jusqu’à 4 kg. Le mulet, qui peut être confondu avec le bar pour les amateurs en action de chasse, se caractérise par des lèvres épaisses, des écailles relativement grandes, deux nageoires dorsales bien distinctes et une nageoire caudale tronquée. Une autre grande différence entre le bar et le mulet est l’absence de lignes latérales sur le corps du mulet.
    Technique de chasse

    A l’agachon ou à la coulée, il faut être très discret car même si le mulet est moins vif et craintif que le bar ou le dorade, tout mouvement brusque le fera fuir. Il sera alors possible de le retrouver à trou et dans ce cas il sera plus facile à tirer.

     

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                                                                            la sole

     

    Les poissons divers

     

    caractéristique la sole

    Milieu de vie

    La Sole est présente en atlantique et en méditerranée où elle reste bien moins fréquente.Elle affectionne les fonds sableux dans lesquels elle peut se camoufler. Actif la nuit pour s’alimenter, la sole reste enfouie dans le sable toute la journée.

    Ce poisson recherche les fonds sableux pour se camoufler, il cherche aussi à se nourrir. On trouve donc les soles sur fonds sableux à proximité de zones rocheuses. Il convient aussi de souligner que la sole est un poisson qui préfère la mer calme et qui recherche des arrivées d’eau douce.
    Caractéristiques

    La sole est un poisson plat reconnu pour son goût, c’est aussi certainement le plus connu de la famille des poissons plats composée entre autre du carrelet et du turbo. Ce poisson est de forme ovale et se camoufle merveilleusement dans les fonds sableux grâce à son dos tacheté couleur sable.

    Poids maximum : 4 kg
    Taille maximale : 60 cm
    Technique de chasse

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                                                                              le sabre

     

    Les poissons divers

     

    caractéristique du poisson le sabre

    Sabre
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Sabre Nom(s) courant(s) : sabre, poisson sabre, sabre argenté

    Nom scientifique : Lepidopus caudatus (Euphrasen, 1788)

    Noms étrangers : Silver scabbardfish (Anglais)

    Description / aspect :
    Le sabre est un poisson au corps serpentiforme et comprimé latéralement. Le sabre est doté d’une longue nageoire dorsale à rayons épineux qui se prolonge en s’affinant sur toute la longueur de son dos jusqu’à la queue. Le sabre possède une petite queue fine en V. La tête du poisson sabre est peu amicale : de gros yeux et des mâchoires armées de canines très longues. Ce poisson appelé sabre argenté a une couleur grise acier métallisée.

    Mode de vie :
    Le sabre est un poisson pélagique qui vit dans les eaux profondes entre 60 et 600 m mais n’hésite pas à monter à 30 m la nuit pour se nourrir, exceptionnellement plus. Le sabre évolue souvent par banc de dizaines d’individus dans les grands fonds. Ce carnassier aux dents affûtées s’alimente notamment de poissons, de calmars et de crustacés. Les grands yeux noirs du sabre l’aident à garder une bonne vue dans les grandes profondeurs.

    Habitats : tombants, fosses, zones sableuses ou vaseuses

    Répartition géographique : Atlantique, Méditerranée

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 30 à 600 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     aucune, je préconise 1,15 m
    Taille de maturité sexuelle :     1,11 m
    Taille moyenne :     1 à 1,80 m (1,5 à 4 kg)
    Taille maximale :     2,5 m (10 kg)
    Record de France :     3,6 kg (Saint Raphaël, 30/09/2002)
    Record du Monde :     6,40 kg (Gibraltar, 16/07/1995)

    Pêcher le sabre :
    Le sabre, carnassier méconnu, est de plus en plus pêché en Méditerranée dans 50 à 300 m de fond depuis l’arrivée des jigs métalliques :
    – Type de jig : 200 à 600 g pour filer vite au fond, longiformes pour le confort du pêcheur.
    – Hameçon : un assist-hook éloigne ses dents du bas de ligne, qui est en gros nylon 120/100 (ou 60/100 doublé) car l’acier gène la nage du leurre.
    – Couleur du leurre :
    Le sabre est un animal nocturne et de grand fond sensible aux couleurs opposées : l’une flashy (claire et vive voire phosphorescente) et l’autre sombre (deux faces opposées ou face à bandes transversales ou points).
    – Animations : remontez le jig rapidement par à-coups, mais surveillez la descente de la ligne car les 3/4 des touches ont lieu à la descente du jig.
    – Électronique : GPS cartographique et sondeur avec sonde 50 kHz indispensables pour réaliser une bonne pêche de sabre.


    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : céphalopodes (calamar), poissons (anchois, chinchard, sardine / vif, mort, lamelle)
    Les techniques : à soutenir, en dérive au vif, en dérive au mort-manié

    Pêche aux leurres
    Leurres adaptés :
    Leurres souples (shad, virgule, tube)
    Leurres métalliques (cuiller lourde, jig)
    Les techniques : dandine, jigging, dérive (pêche à gratter)

     

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                                                           la dorade grise

     

    Les poissons divers

     

     

    caractéristique du poisson la dorade grise

    Daurade grise (dorade grise, griset)
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Dorade grise

    Nom(s) courant(s) : daurade grise, dorade grise, griset

    Nom scientifique : Spondyliosoma cantharus (Linné, 1758)

    Noms étrangers : Black seabream (Anglais)

    Description / aspect :
    Le corps de la dorade grise est haut et comprimé latéralement, avec une petite tête. La mâchoire supérieure de la dorade grise est protractile et la petite bouche s’ouvre facilement. La coloration de la daurade grise est bleu-gris métallisé sur le dos et s’éclaircit sur le ventre, où peuvent apparaître 5 à 6 larges bandes transversales brunes et 15 à 18 lignes longitudinales bleues dessinées par les écailles. Les nageoires pectorales du griset sont grises alors que les autres nageoires sont bleutées. L’extrémité de la queue est claire.

    Mode de vie :
    Les jeunes dorades grises se rapprochent de la côte l’été, alors que les plus gros grisets sont plutôt présents entre 15 et plus de 50 mètres, sauf durant la reproduction où ils forment leur nid dans le sable en creusant des larges trous. Les mâles surveillent les oeufs.

    Habitats : roches, estuaires, chenaux, herbiers de posidonies, couloirs de sable, digues rocheuses, épaves

    Répartition géographique : mer du Nord, Manche, Atlantique, Méditerranée

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 2 à 300 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     aucune, je préconise 25 cm
    Taille de maturité sexuelle :     25 cm
    Taille moyenne :     20 à 40 cm
    Taille maximale :     60 cm (3 kg)
    Record national :     2,79 kg (La Baule, Pays de Loire, 04/09/1994)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : vers (arénicoles, mille-pattes), coquillages (notamment coque, moule crue ou cuite), crustacés (crabe mou ou franc, crabe dur, crevette), céphalopodes (seiche), morceaux de poissons (anchois, maquereau, sardine / lamelle), végétaux
    Les techniques : au flotteur, au poser, à la palangrotte, à soutenir, en dérive au mort-manié

    Pêcher la dorade grise :
    La pêche de la daurade grise est très pratiquée et populaire en France. Les touches de griset sont à ferrer rapidement, car ces poissons déchiquettent les appâts en une bouchée  grâce à des dents solides et pointues. Pour ce, une canne de 2 à 3 m à scion sensible est préconisée. Une strouille permet de tenir les dorades grises sous le bateau. Les daurades grises peuvent se prendre au jeu de plume ou micro leurre souple accidentellement, ce qui est rare.

     

     

     

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                                                              le Maquereau

     

    Les poissons divers

     

     

    caractéristique du poisson le Maquereau

    Maquereau
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Maquereau Nom(s) courant(s) : lisette (jeune), maquereau (adulte), maquereau commun

    Nom scientifique : Scomber scombus (Linné, 1758)

    Noms étrangers : Atlantic mackerel (Anglais), Makreel (Hollandais), Makrele (Allemand), Makrell (Norvégien), Caballa (Espagnol), Cavala (Portugais), Macrou (Roumain)

    Description / aspect :
    Le maquereau possède un corps fusiforme qui lui permet de nager à 10km/h. Ses deux nageoires dorsales sont largement espacées, il y a 10 à 13 rayons épineux sur la première dorsale. Le maquereau possède aussi deux nageoires pectorales, deux ventrales, une anale et une caudale. Il y a environ 5 pinnules (triangles durs) en haut et en bas de chaque côté de la queue du maquereau. Le dos du maquereau est bleu-vert zébré de lignes sombres plus ou moins obliques et parallèles, les flancs et le ventre sont blancs argentés.

    Mode de vie :
    Les maquereaux vivent en bancs denses. Ce sont des poissons pélagiques qui se nourrissent de petits poissons tels que les sprats, sardines ou anchois. Ils sont présents à la cote du printemps à l’arrière saison (octobre) et forment parfois d’immenses chasses matérialisées par des piqués d’oiseaux en surface.

    Habitats : poisson grégaire pélagique vivant en bancs compacts parfois énormes en pleine eau, souvent près de la surface, partout à la côte comme au large.

    Répartition géographique : mer du Nord, Manche, Atlantique, Méditerranée

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 0 à 250 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     20 cm (30 cm en mer du nord)
    Taille de maturité sexuelle :     40 cm
    Taille moyenne :     25 à 30 cm
    Taille maximale :     50 cm (1,5 kg)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : vers (mille-pattes), petits poissons (anchois, éperlan, sardine / vif, mort, lamelle, accessoirement petits morceaux de maquereau)
    Les techniques : au flotteur, au lancer-ramener d’appâts, au poser (souvent sans le chercher), au broumé, à la palangrotte, à soutenir
    Pêche aux leurres
    Leurres adaptés :
    Leurres en plastique dur (jerkbait et longbill minnow de petite taille)
    Leurres souples (shad, virgule, slug et finess shad, worm)
    Leurres métalliques (spin tail jig et blade, cuiller ondulante fine, cuiller lourde, jig, tai jig)
    Leurres de traine (leurres souples de traine lente, poissons nageurs de traine)
    Plumes et mouches (train de plumes, mouche)
    Les techniques : dandine, lancer-ramener de leurres durs, lancer-ramener de leurres souples, buldo et tirette, mouche, traine lente en profondeur, traine vitesse moyenne sur chasses

    Pêcher le maquereau :
    Le maquereau se pêche fréquemment entre 15 et 30 m de profondeur. Il est parfois mélangé aux chinchards. Le maquereau se pêche à la grande majorité au jeu de plumes blanches avec adjonction d’artifice réfléchissants. Cependant les leurres modernes lancés avec un ensemble léger permettent de ravir les débutants. Sous une chasse de maquereaux, de gros prédateurs peuvent être à l’affût de ces poissons gras, c’est le cas des liches, barracudas, bonites, thons, maigres et gros bars.

     

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                                              Morue (cabillaud)

     

    Les poissons divers

     

     

     

    caractéristique du poisson la morue

    Morue (cabillaud)
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Morue ou cabillaud Nom(s) courant(s) : Morue, Morue de l’Atlantique, Morue Franche, Cabillaud
    Note : Comme pour le bar et le loup, son nom porte à confusions, pourtant une morue ou un cabillaud désignent bien la même espèce Gadus morhua. Le nom morue est plutôt utilisé pour désigner la conservation séché et salé. Le nom cabillaud plutôt employé pour le poisson frais entier.

    Nom scientifique : Gadus morhua (Linné 1758)

    Noms étrangers : Atlantic cod, BlackBerry fish et de nombreuses appellations en langue Anglaise, Torsk (Danois),  Saarullik (Groenland), Merluzzo bianco (Italien), Torsk (Norvégien et Suédois), Bacalhau-do-Atlântico (Portugais), Cod (Roumain), Bacalao del Atlántico (Espagnol)

    Description / aspect :
    La morue est pourvue de trois nageoires dorsales et deux nageoires anales, sans rayon épineux. Notre cabillaud a une mâchoire supérieure plus avancée que la mâchoire inférieure et de nombreuses petites dents à chaque mâchoire. Son long barbillon au menton est un signe distinctif du cabillaud par rapport aux autres gadidés (lieu jaune, lieu noir, merlan). Le long de ses flancs se dessine une ligne latérale blanche. Le dos de la morue est foncé et son ventre est clair, marron jaunâtre à marron rougeâtre parsemé de tâches rondes sombres.

    Mode de vie :
    Le cabillaud, appelé communément morue, migre en mer du Nord entre février et avril dans des eaux entre 4 et 6 °C pour pondre 2,5 millions d’oeufs par tranche de 5 kg de son poids. Elle peut pondre alors jusqu’à 9 millions d’oeufs. Vous consommez peut être ses oeufs sans le savoir : ils sont fumés, mélangés et préparés en une crème rose appelée Tarama. La morue évolue en eau froide entre 2 et 10 °C, idéalement entre  20 et 50 m. La morue peut vivre 15 ans. Le barbillon mentonnier est un organe sensoriel du cabillaud qui lui sert à détecter la nourriture sur le fond. La morue mange donc en priorité des proies sur le fond : crabes, étoiles de mer (ophiures), mollusques, et les gros sujets mangent aussi des poissons, dans ce cas ils remontent parfois de quelques mètres pour se nourrir de leurs proies.

    Habitats : épaves; ridens (dunes sous marines); reliefs assez plat dont la sédimentologie se constitue de gravillons et/ou de crustacés

    Répartition géographique : mer du Nord, Manche

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 10 à 600 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     35 cm
    Taille de maturité sexuelle :     60 cm
    Taille moyenne :     50 à 90 cm
    Taille maximale :     1,80 m (50 kg)
    Record de France :     13,26 kg (Boulogne-sur-Mer,
    Nord-Pas-de-Calais, 31/07/1990)
    Record de France :     44,79 kg (Île des Shoals,
    États-Unis, 08/06/1969)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : vers (arénicole), coquillages (notamment bulot, couteau), crustacés (crabe mou ou franc, crabe dur), céphalopodes (seiche, calamar), poissons (en particulier capelans, dragonnets, hareng, lançon / vif, mort, lamelle)
    Les techniques : au poser, à soutenir, en dérive au vif, en dérive au mort-manié
    Pêche aux leurres
    Leurres adaptés :
    Leurres souples (shad, virgule, slug et finess shad, worm, tube, écrevisse, octopus)
    Leurres métalliques (cuiller lourde, jig, tai jig, inchiku jig)
    Plumes (train de plumes jaunes/orangés avec hameçons costauds 3/0 à 7/0 et nylon 70 à 80/100)
    Les techniques : dandine, dérive (pêche à gratter), traine lente en profondeur (occasionnellement prise sans être recherchée)

    Pêcher la morue (ou cabillaud) :
    La morue apprécie les coloris jaunes, orangés et rouges, ma couleur préférée étant le jaune d’oeuf. Un jig ou un leurre souple clair zébré au marqueur de bandes transversales noires (coloris « guêpe ») est efficace sur le cabillaud, conseil que le détenteur du record de France m’a confié il y a une dizaine d’année, largement vérifié ! Sur épave, ne pas pêcher trop fin, car une grosse morue risque d’embarquer la ligne dans la tôle tranchante de la carcasse.  Au poser et en surfcasting, avant l’appât, une grosse perle ovale phosphorescente et/ou une perle colorée rouge ou orangée est un teaser efficace pour attirer la morue.

    Cuisiner la morue (ou cabillaud) : Voici quelques recettes de morues pour cuisiner vos belles prises. La morue fraîche (cabillaud) et la morue salée et séchée n’ont rien à voir en terme de goût, la première étant succulente en court bouillon !

     

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                                                           le bar

     

    Les poissons divers

     

     

     

    caractéristique du poisson le bar


    Bar moucheté
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Bar moucheté

    Nom(s) courant(s) : bar moucheté, bar tâcheté

    Nom scientifique : Dicentrarchus punctatus (Bloch, 1792)

    Noms étrangers : Bass (Anglais), Lubina (Espagnol), Spigola (Italien).

    Description / aspect :
    Le bar moucheté possède un corps allongé et légèrement comprimé pourvu de 2 nageoires dorsales de même longueur et hauteur, séparée : une épineuse près de la tête et l’autre molle. En outre il possède 2 nageoires pectorales, 2 ventrales et une anale. Le dessus de la tête du bar moucheté est rectiligne et sa bouche est large. Le dos du bar moucheté, dit aussi tacheté, est de couleur gris bleuté, clair à foncé parsemé de nombreuses tâches noires et ses flancs et son ventre sont clairs argentés.

    Mode de vie :
    Les bars mouchetés chassent fréquemment en banc dans des profondeurs de 0 à 15 m.

    Habitats : zones côtières rocheuses, zones portuaires sur fonds sableux, vaseux ou rocheux.

    Répartition géographique : mer du Nord, Manche, Atlantique, Méditerranée

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 0 à 20 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     aucune, je préconise 30 cm
    Taille de maturité sexuelle :     30 cm
    Taille moyenne :     20 à 30 cm
    Taille maximale :     60 cm (2,5 kg)
    Record national :     2,35 kg (Royan, Poitou
    Charentes, 05/07/1997)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : coquillages, crustacés (crabes), petits poissons
    Les techniques : à la ligne libre, au flotteur, au lancer-ramener d’appâts, au poser, en dérive au vif, en dérive au mort-manié
    Pêche aux leurres
    Leurres adaptés :
    Leurres en plastique dur (popper, leurre à hélice(s), stickbait, jerkbait, longbill minnow, crankbait, swimbait)
    Leurres souples (shad, virgule, slug et finess shad, worm)
    Leurres métalliques (spin tail jig et blade, cuiller ondulante fine, cuiller lourde, jig)
    Leurres de traine (leurres souples de traine lente, poissons nageurs de traine)
    Plumes et mouches (train de plumes, mouche)
    Les techniques : dandine, dérive (pêche à gratter), lancer-ramener de leurres durs, lancer-ramener de leurres souples, buldo et tirette, mouche, traine lente en profondeur

    Pêcher le bar moucheté :
    Les bars mouchetés ont tendance à se prendre facilement aux trains de plumes lors des chasses, ciblez les plus gros d’entre-eux à l’aide de leurres de plus de 10 cm, de petits vifs ou de gros crabes mous au poser.



    Bar ou loup

    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Bar commun

    Nom(s) courant(s) : bar, loup, loubine, louvine, drenek

    Nom scientifique : Dicentrarchus labrax (Linné, 1758)

    Noms étrangers : Bass (Anglais), Lubina (Espagnol), Spigola (Italien).

    Description / aspect :
    Le bar possède un corps allongé et légèrement comprimé pourvu de 2 nageoires dorsales de même longueur et hauteur (une épineuse près de la tête et l’autre molle). Le bar possède aussi 2 nageoires pectorales, 2 ventrales et une anale. Le dessus de la tête du bar est rectiligne et sa tête se termine par une large bouche. La coloration de son dos est gris à vert olive, plus ou moins foncé, et ses flancs et son ventre sont clairs argentés.

    Mode de vie :
    Le bar aime les courants, remous et la houle : il se nourrit abondamment en période de coup de vent.

    Habitats : roches avec huîtres ou moules, épaves (ébréchées), zones portuaires (roches, piliers de pontons, structures artificielles), eaux saumâtres (étangs salins, lits de rivière avec roches et laminaires), plages à vagues déferlantes

    Répartition géographique : mer du Nord, Manche, Atlantique, Méditerranée

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 0 à 50 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     42 cm sur la face Ouest de la France,
    30 cm en Méditerranée depuis le 31 octobre 2012
    Taille de maturité sexuelle :     42 cm
    Taille moyenne :     35 à 45 cm
    Taille maximale :     1,05 m (10,5 kg), jusqu’à 14 kg sur la
    côte Méditerranéenne et au Maroc
    Record national :     10,33 kg (Corse, 22/12/1990)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : vers (arénicole, mille-pattes, bibi), coquillages (en particulier mye, clam, couteau), crustacés (en particulier crabe mou ou franc, crabe dur, crevette, bouquet), céphalopodes (en particulier seiche, calamar), poissons (tous avec préférence pour chinchard, gobie, hareng, lançon, lieu, limande, maquereau, sardine, tacaud vivants; et chinchard, hareng, lançon et maquereau morts entiers ou en lamelles)
    Les techniques : à la ligne libre, au flotteur, au lancer-ramener d’appâts, au poser, en dérive au vif, en dérive au mort-manié
    Pêche aux leurres
    Leurres adaptés :
    Leurres en plastique dur (popper, leurre à hélice(s), stickbait, jerkbait, longbill minnow, crankbait, swimbait)
    Leurres souples (shad, virgule, slug et finess shad, worm, tube)
    Leurres métalliques (spin tail jig et blade, cuiller ondulante fine, cuiller lourde, jig)
    Leurres de traine (leurres souples de traine lente, poissons nageurs de traine)
    Plumes et mouches (train de plumes, mouche)
    Les techniques : dandine, jigging, dérive (pêche à gratter), lancer-ramener de leurres durs, lancer-ramener de leurres souples, buldo et tirette, mouche, traine lente en profondeur

    Pêcher le bar :
    Les contenus sur la pêche du bar ne manquent pas sur le net, voici quelques liens qui résument tout ce qui touche à la pêche du bar :

     

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                                                            la Daurade royale

     

     

    Les poissons divers

     

     

     

    caractéristique du poisson la Daurade royale

    Daurade royale (dorade)
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Daurade royale

    Nom(s) courant(s) : Daurade royale, dorade royale

    Nom scientifique : Sparus aurata (Linné, 1758)

    Noms étrangers : Gilthead seabream (Anglais)

    Description / aspect :
    Le corps de la dorade royale est haut et comprimé latéralement. La daurade royale possède une tache noire à la base de la ligne latérale et une bande dorée entre les yeux (qui disparaît lorsque le poisson pêché meurt).

    Mode de vie :
    Les dorades royales évoluent en bancs très importants d’individus de taille très proche. Lorsque les grosses dorades royales arrivent à la côte sur les zones conchylicoles, elles croquent tous les coquillages (notamment les moules) jusqu’à ce que le fond soit vierge puis elles cherchent un autre secteur.

    Habitats : roches avec huîtres ou moules, estuaires, chenaux, herbiers de posidonies, couloirs de sable, fonds vaseux, digues rocheuses, épaves, parcs à moules et à huîtres

    Répartition géographique : Manche, Atlantique, Méditerranée

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 2 à 150 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     aucune, je préconise 40 cm
    Taille de maturité sexuelle :     40 cm
    Taille moyenne :     25 à 45 cm
    Taille maximale :     70 cm (7,5 kg)
    Record national et mondial :     7,36 kg (Brest, Bretagne, 13/10/2000)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : vers (bibi, mille-pattes en particulier américain et pistiche/mourron), coquillages (en particulier bulot, moule, violet), crustacés (crabe mou ou franc, crabe dur / crabe vert, callianasse / machotte), céphalopodes (calamar), poissons (anchois, maquereau, sardine / lamelle ou entier pour les petits poissonnets)
    Les techniques : au flotteur, au poser, à soutenir

    Pêcher la dorade royale :
    La daurade royale est un poisson noble des plus appréciés pour sa recherche difficile qui nécessite l’utilisation d’un nylon fin et sa combativité puissante qui donne du piment au combat. A l’instar du bar, la robe argentée et la sportivité de la dorade royale en font le poisson roi de nos côtes pour beaucoup de passionnés.  Les hameçons à daurade royale sont ronds, à hampe courte et forts de fer pour résister à la pression de leurs mâchoires puissantes servant à broyer tous les coquillages. Il faut ferrer rapidement à la moindre petite touche de dorade royale, sous peine de perdre le poisson.

     

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                                                        le Lieu jaune

     

    Les poissons divers

     

     

     


    caractéristique du poisson le Lieu jaune

    Lieu jaune
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Lieu jaune Nom(s) courant(s) : lieu jaune, colin jaune, merlan jaune, merlu, merluche, pollack

    Nom scientifique : Pollachius pollachius (Linné, 1758)

    Noms étrangers : Pollack (Anglais)

    Description / aspect :
    Le lieu jaune est pourvu de trois nageoires dorsales et deux nageoires anales. Ses nageoires n’ont pas de rayons épineux. La mâchoire inférieure du lieu jaune est plus avancée que sa mâchoire supérieure. Au niveau de la coloration, le dos du lieu jaune est brun-vert, son ventre et ses flancs sont clairs avec des taches jaunes de forme irrégulière. Une particularité du lieu jaune, qui le distingue du lieu noir, est la ligne latérale incurvée au niveau des nageoires pectorales qui est noire sur les flancs clairs, alors que celle du lieu noir est blanchâtre sur des une teinte globale plus foncée.
    En résumé : lieu jaune = poisson jaunâtre avec lieu latérale sombre et lieu noir = poisson sombre avec ligne latérale claire. Cette règle est plus difficile à constater sur les jeunes lieus.

    Mode de vie :
    Les jeunes lieus jaunes aires par petits groupes le long du littoral, dans les zones portuaires puis dans les roches. A l’age adulte ils préfèrent se rassemblent sur les têtes de roches profondes ou les épaves, dans 20 à plus de 60 mètres de profondeur. Le lieu jaune est un chasseur particulier, il semble calme et au repos et bondit au dernier moment sur une proie de passage. Cette approche permet de palier à son manque d’endurance. Les gros lieus jaunes se nourrissent de grosses proies : céphalopodes et poissons. Un lieu de 2 kg pour 60 cm a 5 ans, ce qui prouve une croissance relativement rapide. Les lieus jaunes pondent en mars au large sur les épaves et autres refuges immergés, puis certains gros géniteurs se réfugient dans des grands fonds de 100 à 150 m.

    Habitats : fonds rocheux et recouverts d’algues, épaves dans plus de 25 m de fond, grosses têtes de roches immergées sur des fonds de plus de 15 m, zones portuaires pour les lieus jaunes juvéniles.

    Répartition géographique : mer du Nord, Manche, Atlantique

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 0 à 150 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     30 cm
    Taille de maturité sexuelle :     60 cm
    Taille moyenne :     30 à 60 cm
    Taille maximale :     1,30 m (18 kg)
    Record de France :     11,8 kg (Île d’Ouessant,
    Bretagne, 30/08/1981)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : vers (arénicole, mille-pattes notamment néréide de vase ou de sable), crustacés (crabe mou ou franc, crabe dur, crevette, bouquet), céphalopodes (seiche), poissons (chinchard, dragonnets, gobie, hareng, lançon, maquereau, sprat, tacaud, vieille / vif, mort, lamelle), végétaux (pain, pâtes alimentaires), esches animales
    Les techniques : au flotteur (pour les juvéniles), au lancer-ramener d’appâts, au poser, à soutenir, en dérive au vif, en dérive au mort-manié
    Pêche aux leurres
    Leurres adaptés :
    Leurres en plastique dur (popper, stickbait, jerkbait, longbill minnow)
    Leurres souples (shad, virgule, slug et finess shad, worm, tube)Leurres métalliques (cuiller lourde, jig, inchiku jig)
    Leurres de traine (leurres souples de traine lente)
    Plumes (train de plumes)
    Les techniques : dandine, dérive (pêche à gratter), lancer-ramener de leurres durs, buldo et tirette, traine lente en profondeur

    Pêcher le lieu jaune :
    Le lieu jaune n’est pas endurant et se fatigue après 10 secondes de course poursuite, c’est pourquoi il se rapproche lentement de sa proie et accélère au dernier moment pour la saisir dès son élancée : sur un poste à lieu, touchez le fond avec un leurre souple ou un lançon et remontez lentement jusqu’à mi-hauteur. Le lieu jaune est un poisson puissant au démarrage mais se fatigue vite. Les individus de plus de 4 kg se nourrissent de grosses bouchées : poissons gras de plus de 20 cm ou seiches.

     

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                                                           la lingue           

     

    Les poissons divers

     

     

     

    caractéristique du poisson la lingue


    Lingue (ou Julienne)
    Publié le 6 juin 2011 par admin   

    Lingue ou Julienne Nom(s) courant(s) : Julienne, Lingue et moins couremment Lingue bleue, Lingue franche, Élingue, Morue langue, Morue longue, Tutchuela

    Nom scientifique : Molva molva (Linné 1758)

    Noms étrangers : Ling (Anglais), Lingue (Espagnol), Molva (Italie et Russie), Lange (Norvégien), Leng (Allemand)

    Description / aspect :
    La lingue est un poisson très allongé se terminant par une mâchoire supérieure proéminente et sur la mâchoire inférieure un long barbillon mentonnier. La julienne, ou lingue, ne possède pas de rayon épineux sur ses nageoires. Elle possède 2 nageoires dorsales dont la deuxième est très longue étendue jusqu’à la queue, une longue nageoire anale étendue sur la moitié arrière du ventre, deux nageoires pectorales et deux ventrales. Le dos de la julienne est sombre, ses flancs sont jaunâtres et son ventre est blanc.

    Mode de vie :
    La lingue, dite julienne, est un gadidé proche de la morue en beaucoup plus allongé. La lingue vit dans les fonds rocheux et les épaves jusqu’à 500 mètres de profondeur, mais les jeunes juliennes sont dans des fonds moins importants. Comme la morue la lingue se nourrit de crabes et étoiles de mer (ophiures), mais c’est surtout un carnassier qui à sa taille adulte ne fait qu’une bouchée des poissonnets qui sont sur son passage. La lingue se reproduit entre mars et juillet.

    Habitats : fonds rocheux et recouverts d’algues, épaves dans plus de 25 m de fond, grosses têtes de roches immergées sur des fonds de plus de 15 m.

    Répartition géographique : mer du Nord, Manche, Atlantique

    Répartition bathymétrique (profondeur) : 100 à 500 m
    Taille légale de capture (minimum légal) :     63 cm
    Taille de maturité sexuelle :     90 cm
    Taille moyenne :     90 à 1,20 m
    Taille maximale :     2 m (45 kg)
    Record de France :     19,2 kg (Quiberon,
    Bretagne, 19/06/1976)
    Pêche aux appâts naturels
    Les appâts : céphalopodes (seiche, poulpe), poissons (notamment carrelet, grondin, hareng, limande, maquereau, merlan, tacaud / vif, mort entier ou en lamelle)
    Les techniques : au poser, à soutenir, en dérive au vif, en dérive au mort-manié
    Pêche aux leurres
    Leurres adaptés :
    Leurres souples (shad, virgule, slug et finess shad, worm, tube)
    Leurres métalliques (cuiller lourde, jig, tai jig, inchiku jig)
    Les techniques : dandine, dérive (pêche à gratter)

    Pêcher la lingue ou julienne :
    Animez lentement au ras du fond et utilisez un fil fluorocarbone en 50 à 70/100 pour brider fermement la grande lingue dans les 10 premiers mètres et la sortir de son habitat… souvent tranchant pour nos lignes. La julienne est une espèce rarement recherchée par le plaisancier car les postes où elle se trouve sont généralement trop éloignés.


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