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  • Les algues marines sont considérées comme étant bénéfiques pour la santé pour plusieurs raisons :

    1. Nutriments : Les algues marines sont riches en nutriments, tels que les protéines, les vitamines et les minéraux, ce qui en fait un complément alimentaire sain.

    2. Antioxydants : Certaines algues marines, comme l'spiruline, contiennent des antioxydants qui peuvent aider à protéger le corps contre les dommages causés par les radicaux libres.

    3. Santé cardiaque : Les algues marines peuvent aider à maintenir une santé cardiaque saine en régulant les niveaux de cholestérol et en réduisant le risque de maladies cardiaques.

    4. Santé digestive : Les algues marines peuvent aider à améliorer la santé digestive en augmentant la production de probiotiques bénéfiques pour le système digestif.

    5. Santé thyroïdienne : Certaines algues marines, comme l'algue brune, peuvent aider à maintenir une santé thyroïdienne saine en fournissant une source de iode.

    En général, les algues marines peuvent apporter de nombreux bienfaits pour la santé, mais il est important de consulter un professionnel de la santé avant de les utiliser comme complément alimentaire, car certaines algues peuvent interagir avec des médicaments ou d'autres compléments alimentaires.

    Alaria esculenta

     

    Les algues marines sont classées en trois grands groupes, elles se répartissent verticalement  dans l’eau à des profondeurs différentes de 0 à 100 mètres de profondeur en fonction de leur besoin en lumière. Moins il y a de lumière, plus les algues vont développer des mécanismes pour capturer le peu de lumière présent à l’aide de pigments synthétiques. Les algues ont besoin de trois choses essentielles pour leur photosynthèse qui sont : la lumière, l’eau, des minéraux nutritifs.

    Les l'algue marine

     

    Groupe 1 : Les Algues vertes (Chlorophycées) :

    Les algues vertes aussi nommées Chlorophycées poussent prés de la surface. Comme les plantes vertes elles ont besoin de lumière rouge pour vivre (et d'un peu de lumière bleue). Elles ne peuvent donc pas pousser en profondeur.   Les algues vertes sont apparues il y a environ 1,3 milliard d'années

     

    Les algues vertes peuvent être invasives et ainsi couvrir certaines plages d'un matelas nauséabond de quelques décimètres d'épaisseur et de quelques mètres voire dizaines de mètres de large. La prolifération des algues vertes se produit dans un milieu enrichi en nitrates par le ruissellement dans les zones d'agriculture intensive ou par un traitement insuffisant des eaux usées de zones urbaines.

    Les l'algue marine

     

    Groupe 2 : Les Algues brunes (Phéophycées) :

    Les algues brunes, aussi nommées Phéophycées sont des algues qui utilisent commepigment collecteur de lumière, un pigment brun. Il existe 1 500 espèces de Phéophycées, elles représentent les algues les plus abondantes des mers tempérées et froides.

    Les Algues Brunes sont les dernières à être apparues il y a environ 1,1 milliard d'années

    Groupe3 : Les Algues rouges (Rhodophycées)

    Les algues rouges, n'ont pas besoin de lumière rouge, mais de lumière bleue (et un peu de lumière verte) ce qui explique qu’elles poussent beaucoup plus profond dans l’eau.  Grâce à leur couleur, les algues rouges sont donc adaptées aux grandes profondeurs : elles vivent là où les algues vertes ne pourraient pas survivre.

    Les l'algue marine

    Les algues rouges sont apparues il y a environ 1,7 milliard d'années

     

    De nombreuses espèces d’algues sont comestibles pour l’homme ou les animaux. Certaines espèces sont toxiques, parasites ou invasives comme la « Caulerpa Taxifolia » en mer méditerranée. Diverses espèces sont utilisées pour l’alimentation, l’agriculture ou l’industrie.

    Les algues bleues (Cyanophycées) sont une famille à part 

    Ce sont des bactéries.  On en connaît plus de 7 500 espèces, réparties dans plus de 150 genres. Apparues en premier, il y a environ 3,8 milliards d'années, elles ont contribué à l'expansion des formes actuelles de vie surTerre.

     

     

     

     

     

     

    Les wakamés se déclinent sous plusieurs espèces, dont l'algue brune Alaria esculenta est une ochrophyte originaire de tout l'océan Atlantique nord, tant dans l'Atlantique nord-est que l'Atlantique nord-ouest. Cette algue est la seul des douze espèces du genre Alaria à croître dans les îles britanniques. Elle a été introduite dans les eaux littorales du Japon. La laminaire est présente en France, à Cherbourg, Roscoff, en mer du Nord et Manche.
    Lire plus: https://www.aquaportail.com/fiche-algue-3160-alaria-esculenta.html
    Les wakamés se déclinent sous plusieurs espèces, dont l'algue brune Alaria esculenta est une ochrophyte originaire de tout l'océan Atlantique nord, tant dans l'Atlantique nord-est que l'Atlantique nord-ouest. Cette algue est la seul des douze espèces du genre Alaria à croître dans les îles britanniques. Elle a été introduite dans les eaux littorales du Japon. La laminaire est présente en France, à Cherbourg, Roscoff, en mer du Nord et Manche.
    Lire plus: https://www.aquaportail.com/fiche-algue-3160-alaria-esculenta.html

     

    Les wakamés se déclinent sous plusieurs espèces, dont l'algue brune Alaria esculenta est une ochrophyte originaire de tout l'océan Atlantique nord, tant dans l'Atlantique nord-est que l'Atlantique nord-ouest. Cette algue est la seul des douze espèces du genre Alaria à croître dans les îles britanniques. Elle a été introduite dans les eaux littorales du Japon. La laminaire est présente en France, à Cherbourg, Roscoff, en mer du Nord et Manche.
    Lire plus: https://www.aquaportail.com/fiche-algue-3160-alaria-esculenta.html

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  • La telline (Donax trunculus) est un petit coquillage bivalve vivant enfoui sous le sable et dont on retrouve fréquemment les coquilles vides sur les plages. On la trouve essentiellement sur la côte Atlantique, mais également en Méditerranée et sur les côtes Bretonnes. Ce coquillage se savoure à l’apéritif, en entrée ou en accompagnement de pâtes fraîches. Il est d'une grande finesse, sa saveur est proche de celle de la coque, en plus fin, avec des accents de noisette un peu sucré !

    La telline

     

    La telline est un coquillage bivalve que l'on trouve essentiellement sur la côte Atlantique. On la trouve également en méditerranée et sur les côtes bretonnes... Sa grande finesse en fait le régal des gastronomes...

    Appellations : Donax Tunculus
    Description : Petit coquillage bivalve délicat, dont la taille se situe entre 1 et 3 cm
    Appellations : jusqu'ici elle était surtout consommée en région et bénéficiait donc de noms très locaux : douceron, tanille, papillon, blanchette...
    Bilan écologique : elle ne fait pas l'objet d'élevage. Son succès a amené une réglementation de pêche : en camargue, pas plus d'une kilo par personne et par jour... Jusqu'ici elle était ramassée pour une consommation personnelle. A l'approche des fêtes on commence à la trouver sur les étals (comme les "couteaux" d'ailleurs). Le mieux reste de la pêcher en grattant légèrement le sable sur la plage. Pour ma part je l'ai cette fois "pêchée" chez mon poissonnier, très exceptionnellement d'ailleurs car son prix avoisine les 20 euros le kilo. Complètement prohibitif lorsqu'on pense la proportion de coquille par rapport à la partie comestible. Comme pour les espèces sensibles, je n'en achèterai pas plus d'une fois par an. Si j'en ramasse en vacances ce sera en petites quantités. 

     

    La telline

       
    Gastronomie : on l'achète à l'étal fermée ou légèrement ouverte. Comme pour les moules, yne simple pression entre le pousse et l'index doit la conduire à se fermer immédiatement. En général elle n'est pas victime de pollution, c'est un coquillage sain. On la fait dessabler dans plusieurs eaux. Elle est d'une grande finesse, sa saveur est proche de celle de la coque, en plus fin et avec des accents de noisette un peu sucrée... Sa coquille bivalve ressemble à un papillon lorsqu'on l'ouvre ! Recette à suivre...

     

    Mode de cuisson

    La telline

    Faites ouvrir vos tellines dans un faitout ou une casserole haute, dans lequel vous aurez ajouté :

    • 10 g (pour 1kg de tellines) de beurre baratté salé,
    • 2 cuillerées à soupe d’eau fraîche,
    • Une cuillerée à soupe de persil frisé haché.

    Ingrédients pour 4 personnes en plat principal

    • 1 kg de tellines,
    • 2 cuillères à soupe de gros sel,
    • 20 g de beurre,
    • 1/2 gousse d’ail,
    • 2 petites échalotes roses (Roscoff),
    • 3 cuillerées à soupe d’Edelzwicker (ou de pineau des Charentes),
    • 1 pot de 125 ml de crème fraîche épaisse (à défaut 150 ml de crème UHT fluide).

     

     

     

     

     

     


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  • Les palourdes sont des mollusque bivalves, dits fouisseurs car ils vivent enfoncés dans le sable ou la vase grâce à un pied très développé en forme de hache. Ce qui les protège en principe des prédateurs. Sauf à marée basse et sauf d'un oiseau, l'huîtrier pie qui possède des cellules sensorielles le long du bec afin de mieux sonder les fonds. La palourde a une coquille mince, de 3 à 5 cm de long, bombée au centre, jaune clair à gris foncé, avec des taches brunes, qui porte deux séries de stries très fines formant un treillis visible à l'oeil nu. La chair de la palourde varie du blanc crème au gris et à l'orange foncé. Elle est ferme et très iodée.De temps à autre, la palourde sort du sable grâce à une puissante détente de son pied pour aller s'enfouir un peu plus loin afin de trouver sa nourriture. La palourde possède un long organe tubulaire à orifices d'entrée et de sortie séparés et qui va jusqu'en surface. Ainsi, elle pompe l'eau riche en éléments nutritifs du plancton. Différentes espèces existent : la palourde noire est la plus fine tandis que la palourde grise est plus commune.

    Palourdes

     

    En France, les palourdes sont élevées en Normandie, en Bretagne et en Vendée.Les palourdes sont toujours vendues à l'unité.

    Clam

    Le clam est une palourde de grandes dimensions : 5 à 10 cm. Ce coquillage se pêche beaucoup au Canada et aux États-unis. En France, on le trouve en Charente. Il est meilleur quand il est cuisiné. Comme les palourdes, les clams sont vendus à l'unité.

    Palourdes et praires font partie de la famille des petits coquillages bivalves qui meublent avec bonheur les plateaux de fruits de mer ou se dégustent seules. Les unes et les autres ont les mêmes qualités nutritionnelles.

    Palourdes

    Praire

    Cousine de la palourde, la praire a une coquille épaisse, bombée, gris blanc, marquée de profondes stries concentriques, de 3 à 6 cm de diamètre. Elle vit aussi dans les fonds sableux, jusqu'à 100 m de profondeur.La praire est rare en Méditerranée mais abondante sur les côtes de l'Atlantique et de la Manche. La pêche de la praire est saisonnière : elle se déroule de septembre à avril sauf s'il existe des limitations locales supplémentaires. Elle est partout interdite du 1er juin au 1er septembre. En Bretagne et autour de l'Île de Ré, les praires sont parquées et ainsi engraissées.

    Les praires sont vendues au poids.

     

    Palourdes

    Fraîcheur obligatoire

    Une étiquette numérotée se trouve obligatoirement sur les bourriches de palourdes et de praires : elle permet d'identifier l'origine du produit et assure la traçabilité depuis le producteur jusqu'au poissonnier. Il faut toujours choisir des palourdes et des praires qui sont bien fermées ou, si jamais elles baillent, qui se referment dès qu'on les touche.Les unes et les autres se consomment habituellement crues. Lorsqu'elles sont utilisées pour une préparation cuite, il faut prendre soin de les faire tremper avant pendant un moment dans l'évier rempli d'eau afin de les débarrasser de leur sable. Plusieurs rinçages s'imposent ensuite.

    Ingrédients pour 4 personnes (entrée) :

    - 1kg de palourdes grises,
    - 3 petites échalotes roses de Roscoff,
    - 1/2 gousse d’ail en purée,
    - un peu de persil frisé,
    - 1 cuillerée à soupe rase de farine ordinaire,
    - 25 g de beurre baratté salé,
    - 35 ml de Sylvaner ou de Gros Plant,
    - eau,
    - un rien de poivre.

     

     


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  • Méditerranée et proche Atlantique

    Zones DORIS : Méditerranée, Atlantique, Manche et mer du Nord

     

    Escargots de mer

    Le rocher fascié est très commun sur toutes les côtes méditerranéennes en mer et dans les étangs profonds comme le bassin de Thau. Dans l’Atlantique, il est présent seulement sur les côtes proches de la Méditerranée, sur le littoral du Portugal et aux îles Canaries.

    Les Gastéropodes sont très diversifiés sur le récif : on peut se limiter à deux grandes familles les cônes qui sont des prédateurs et les porcelaines  qui sont des brouteurs : on les reconnaît à la forme et à l’aspect de la coquille.
    D’autres peuvent être signalés comme la tonne, le triton car prédateur des étoiles épineuses, et le turbo autrefois consommé et utilisé pour sa nacre, l’haliotis …

    Notion construite : les Escargots de mer possèdent une coquille dans laquelle ils peuvent se rétracter : ils s’y trouvent alors à l’abri. Ils possèdent 2 paires de tentacules, l’une d’elles portent des yeux. Ils se déplacent sur un pied. Il respire grâce à un siphon qui aspire l’eau.

     

    Schémas escragots de mer

     

    Les escargots de mer se différencient par :

     

    1. leur taille ;
    2. la forme de la coquille : basse ou haute, arrondie ou pointue ;
    3. la couleur : blanc à gris ou beige mais aussi marron, orange ou rouge…
    4. les dessins de la coquille : points, lignes, réseau

     

    Les porcelaines ont une forme basse et une coquille brillante grâce au manteau qui vient la recouvrir.
    Les cônes ont une coquille en forme de cône ; ce sont des chasseurs nocturnes, certains sont toxiques.

     

    Escargots de mer

     

    Remarque : Les Mollusques comportent également les « zourites » ou pieuvres ainsi que les calmars : ce sont les Céphalopodes. Si on peut s’intéresser aux prédateurs que sont les pieuvres ou Z’ourites, il sera bien difficile ensuite de les classer du fait d’une coquille absente ou réduite à une plume et d’un pied transformé en « bras à ventouses »…

     

    Escargots de mer

     

     

    Reproduction - Multiplication

    Les sexes sont séparés, mais il n’y a pas de caractères externes différenciant facilement mâle et femelle si ce n’est la présence d’un pénis chez le mâle. Certaines femelles peuvent présenter un pénis se surimposant aux organes femelles, cette anomalie peut être due à une pollution des eaux par des composés chimiques comme ceux contenus dans les peintures antifouling actuellement régulées (tributylétain : TBT).
    La reproduction se fait principalement en mai et juin, plusieurs individus se réunissent pour s’accoupler et pondre. Un nombre important d’individus peut parfois se regrouper pour former des sortes de « boules » de plus de 10 cm très convoitées par certains pêcheurs (en apnée). Les pontes se présentent en amas de capsules blanchâtres contenant plusieurs œufs. Les larves* vont éclore et se développer à l’intérieur de ces coques cornées avant d’en sortir sous la forme de jeunes mollusques rampants.

     

     

     


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  • Bulot, buccin

    Le bulot ou buccin, gros mollusque à la coquille en spirale, d'une couleur allant du brun pâle à presque vert pâle. Le bulot est macrophage, nécrophage et carnivore.

    Que savons nous des bulots ou buccin ?

    Le bulot ou buccin, famille des buccinidés (Buccinum undatum), classe des gastéropodes (estomac sur pied)...
    Autres appellations : coucou, maskora, ran ou calicoco

    Le bulot, gros maullusque à la coquille en spirale, d'une couleur allant du brun pâle à presque vert pâle. Le bulot est macrophage, nécrophage et carnivore. Il possède un opercule, disque corné, qui s’emboîte dans l’ouverture quand le bulot est complètement entré à l’intérieur du coquillage. Il vit enfoui dans les fonds de sable et de vase. On le trouve au moment des grandes marées sur les plages environnées de grosses roches isolées ou bordées de secteurs rocheux.

     

    Comment choisir les bulots ou buccin ?

    Comme tous les fruits de mer, le bulot s'achète vivant; une chair blanchâtre est signe de fraîcheur. Plus les bulots sont gros, plus leur chair est dure.

    Comment préparer le bulot ou buccin ?

    Tremper les bulots environ 10 minutes dans de l'eau froide. Les rincer avant de les plonger dans une eau bouillante salée, poivre et vinaigrée (1 c.s. par litre d'eau); faire cuire 10 min. en remuant. Laisser refroidir dans l'eau de cuisson puis égoutter et consommer.
    Muni d'un large orifice avec un canal court, le bulot est facilement extrait de sa coquille; on le déloge au moyen d'une aiguille à escargot puis on le coupe avec fourchette et couteau.

    Pour le cuisiner

    Bulot

    Ajoutées à l'eau de cuisson, les epicees lui conviennent bien; il se sert nature, avec de la mayonnaise, un aïoli ou avec un beurre d'escargot. On peut également les faire griller avec du curry ou autres épices et les servir avec du poison, des légumes, ou émincés dans des tartes aux fruits de mer.

    Propriétés des buccins

    Les bulots sont parfois indigestes à cause des sauces d'accompagnement (mayonnaises, beurre d'escargot) !

    La valeur énergétique des buccins est de 137 calories au 100 grammes soit 23.84 g de protéines, 0.4 g de lipides et 7.76 g de glucides.


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  • Telline délicate, Telline opale

    Tellina tenuis, tellina fabula

     

    Telline

    Il existe plusieurs sortes de tellines sur les côtes françaises, aussi ai-je choisi de parler seulement de deux d’entre elles, qui semblent être les plus communes.

    La telline est un coquillage bivalve de 2 à 3 centimètres de longueur en triangle allongé, aux bords finement dentelés et à l’intérieur violet foncé, qui contribue à l’originalité de la cuisine camarguaise.

    On ramasse ce coquillage sous le sable, essentiellement entre le Grand Rhône et le Grau-du-Roi. Sa pêche, réglementée, se pratique à l’année avec un tellinier (grand rateau grillagé) et à pied, en bordure de la côte et jusqu’à 200 mètres.

     

    Telline

     

    Dans l’assiette

    Les tellines s’apprêtent de diverses façons : soit à la marinière, soit, après ouverture à chaud, avec une persillade, soit ouvertes en salade avec de la vinaigrette citronnée, soit en sauce tomate relevée, ou encore sautées à la poêle. Le coquillage se savoure à l’apéritif, en entrée ou en accompagnement de pâtes fraîches.

    Histoire

    Le mot « telline », d’origine grecque (telinos) signifie « bout de mamelle ». Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, la pêche de ce coquillage améliorait l’ordinaire des petites gens qui le consommaient à leur usage personnel, voire en faisaient un petit commerce. Depuis les années 1960, sa pêche a pris une toute autre extension.

    Instructions

      Faire tremper les tellines dans de l'eau froide salée pendant 1h à 2h pour les déssaler.

      Préparez dans un saladier vos gousses d'ail hachées.

      Ajoutez le persil ciselé très fin puis 5 à 6 cuillères à soupe d'huile d'olive, mélangez bien.

      Faites ouvrir vos tellines dans une casserole, à feu vif, avec un peu d'huile.

      Attention à ne pas trop les cuire... juste le temps de les ouvrir.

      Les prendre à l'écumoire pour les mettre dans votre saladier.

      Filtrez le jus qu'elles ont rendues.

      Ajoutez-en quelques cuillères dans votre saladier.

     

     


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  • Coque rayée, coque Saint-Jacques, parlourde sauvage, praire double, praïo, rigadelle, vénus du pauvre, véruqueuse.

     

    La praires

     

    Où me pêcher ?

     

    Mer de la Manche, mer du Nord et Océan Atlantique, plus rare en Mer méditerrannée.

    C’est durant les grandes marées qu’il est possible d’en ramasser en quantité.

    Comment me reconnaître ?

    Je possède deux valves épaisses et bombées, dont la surface présente des stries caractéristiques, de forme concentrique et bien marquée. Ma couleur va du blanc au marron en passant par le grisâtre, voire jaunâtre, selon le substrat dans lequel je vis. L’intérieur de ma coquille est blanc avec, souvent, des taches de couleur brune ou rouille.

    Mon mode de vie

     

    Je suis un fouisseur qui évolue sur des fonds de sable grossier et de graviers relativement propres, à une profondeur de 10 cm environ. Je cohabite souvent avec l’amande de mer.

     

    Comment me pêcher ?

     

    On peut me pêcher à la main bien sûr, mais il sera plus aisé d’utiliser un rateau ou une griffe. Comme pour les autres bivalves, le secret est de repérer les deux trous de taille identique que je laisse sur le sable ou par les jets d’eau que je produis quand un pêcheur marche près de moi.

     

    Comment me préparer ?

    Tout comme ma cousine la coque, il est nécessaire de me faire dégorger dans de l’eau de mer afin que je libère le sable prisonnier de ma coquille. Mon petit goût iodé de ma chair ferme s’appréciera particulièrement crue.Les plus grosses sont les meilleures, surtout quand je suis un peu laiteuse

    Praires aux spaghettis

    Praires aux spaghettis

    Praires aux spaghettis

    Ingrédients :

    • 200 g de coulis de tomates
    • 1 kg praires
    • 240 g de spaghetti
    • 1 bouquet garni
    • 2 échalotes
    • 2 cuillères à soupe d'huile d'olive
    • sel, poivre
    • 1 verre de vin blanc

     

     

    Comment me préparer ?

    1. Lavez très soigneusement les praires.
    2. Faites-les ouvrir à feu vif avec le vin blanc, l'échalote hachée et du poivre.
    3. Faites cuire les spaghetti à l'eau salée avec le bouquet garni puis retirez-le.
    4. Égouttez les spaghetti et ôtez les praires de leur coquille.
    5. Dans une sauteuse, faites blondir l'échalote hachée dans l'huile d'olive sans la laisser durcir ou colorer.
    6. Versez le coulis de tomate. Réchauffez-le en tournant à la cuillère en bois.
    7. Ajoutez les spaghetti et les praires et mélangez.
    8. Disposez dans le plat de service et servez immédiatement.

     

     


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  • Le couteau de mer – ou solen - est un coquillage appartenant à la famille des Solenidae. Il doit son nom à sa forme de manche de couteau. Riche en protéines, ce mollusque de 10 à 20 cm de long vit enfoui dans le sable et est récolté à la faveur des marées basses le long de la côte atlantique. Il est repérable aux petits trous en forme de serrure qu'il forme dans le sable. Un peu de sel versé dans cet orifice permet de faire sortir le couteau de sa cachette.

    Les Couteaux

     

    Septembre Octobre Novembre Décembre

     

    Les couteaux de mer sont souvent vendus en fagot. Assurez-vous qu'ils sont bien fermés. Touchez le pied des couteaux : il doit se rétracter s'ils sont frais. Comptez 5 à 6 couteaux par personne.

     

    Les Couteaux

     

    Les couteaux doivent être dégorgés pendant 2 heures dans de l'eau fraîche fortement salée, afin de les débarrasser de leurs impuretés (sable, vase...). Brassez quelques fois les coquillages pendant qu'ils dégorgent, afin d'optimiser le nettoyage. Les couteaux peuvent être dégustés crus, mais sont généralement plus appréciés lorsqu'ils sont cuits.

     

    Poêlez les couteaux dégorgés à vif dans un large faitout et déglacez-les avec un trait de jus de citron ou de vin blanc. Jetez les couteaux qui refuseraient de s'ouvrir à la cuisson. Une fois cuits, les couteaux peuvent être également ouverts et gratinés au four.

    Les couteaux peuvent être utilisés comme des moules. Ils se cuisinent fréquemment à la Sétoise, avec des herbes atomatiques, de la tomate et des oignons.

     

    Le couteau est fragile et doit être vendu le jour de sa pêche. Une fois à la maison, il doit être conservé au réfrigérateur dans un linge humide et consommé dans les 48 heures.


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  • Leur anatomie est très proche des autres bivalves, comme la moule et l'huître, mais leur particularité est de s'enfouir dans le sable ou la vase grâce à un pied très développé, en forme de hache.

    Le pied est la partie la plus charnue de ces coquillages. Les coques et palourdes ont leurs valves ornées de côtes et tubercules.
    Elles demeurent immobiles sous quelques centimètres de sable et se nourrissent de particules en suspension dans l'eau qu'elles aspirent par un siphon.

     

    Les coques

     

    De temps à autre, l'animal sort hors du sable grâce à une puissante détente de son pied et s'enfouit un peu plus loin.
    Les sexes sont séparés chez les coques et palourdes. De même que la moule, elles doivent donc se contenter d'être mâle ou femelle pour la vie.

     

    Les coques

     

    Les prédateurs

    Enlisés dans le sable, les coquillages fouisseurs sont relativement à l'abri des prédateurs. Cependant à marée basse, quelques redoutables oiseaux hauts sur pattes, tels les limicoles, savent bien sonder le sédiment de leur long bec fin pour déterrer ces trésors de saveur cachés dans les vases.

     

    Les coques

     

    L'huîtrier-pie possède même des cellules sensorielles le long du bec afin de mieux sonder les fonds. Ainsi, d'un seul coup, il pénètre l'animal par les siphons et tranche le ligament soudant les valves. Les poissons comme la plie, la daurade et le baliste sont des prédateurs notables.

    Coques à la crème

     

    Ingrédients

    • 2 kg de coques,
    • 10 cl d’Edelzwicker (Alsace),
    • 1 cuillère à soupe de farine,
    • 2 cuillères à soupe de persil frisé haché,
    • 35 g de beurre,
    • 2 belles échalotes de Roscoff,
    • 4 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse,
    • Poivre du moulin ou mieux : piment d’Espelette.

           Bonne appetite

     


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  • Ormeau

    Haliotis tuberculata tuberculata

    Nom usuel ormeau Atlantique, ormeau méditerranéen

    Nom en anglais abalone, ear shell

    Taille maximale à l’âge adulte 14 cm (Europe)

    Ormeau

    Taille commune relevée 9 à 12 cm

    Maturité sexuelle > 40 à 50 mm

    Durée de vie maximale relevée 5 à 20 ans

    Profondeur habituelle de -2 à -20 m

    Sédentaire oui, bien qu’il puisse se déplacer

    Poids maximum constaté 295Pêche

    autorisée ou interdite :

            du 1er janvier au 14 juin
    du 15 juin au 31 aoû
    du 1er septembre au 31 décembre

    Ormeau

    L’ormeau est un coquillage protégé dont la pêche est très surveillée !

    - ne vous étonnez donc pas que ceux qui vous seront proposés soient munis d’un collier en plastique de couleur.
    - la couleur du collier change fréquemment afin de dissuader les braconniers d’en fabriquer.

    - l’ormeau est un coquillage cher (aux alentours de 40 euros le kg) ; sa pêche a lieu principalement lors des grandes marées.
    - les pêcheurs professionnels ont une licence spéciale et leurs activités sont très contrôlées.

    - l’ormeau se conserve assez bien, et il est très rare qu’il ne soit pas frais.
    - néanmoins, en posant votre doigt sur le talon (ventouse), vous pourrez constater rapidement si l’animal est vivant ou non.

    L’ormeau doit être conservé au réfrigérateur, ventouse vers le bas, de manière à ce que l’animal puisse se fixer sur une surface plane, ce qui lui permet de continuer à vivre.

    Entre 24 et 48 heures avant de le consommer :
    - décoquillez-le
    - conservez uniquement le talon
    - les viscères collés à l’arrière du talon seront grattés et jetés
    - ensuite, mettez votre ormeau dans un torchon humide dans le réfrigérateur pendant au moins 24h et jusqu’à 48h.

    Au moment de le cuisiner, il vous faudra encore le battre longuement avec un maillet de bois afin de l’attendrir.ou au marteau à viande

     


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  •  

    Bigorneau

     

    Variétés

    Il existe de nombreuses espèces de bigorneaux (regroupés sous la famille des gastéropodes marins), mais celui que l'on déguste sur les plateaux de fruits de mer est le bigorneau commun gris. Mesurant de 1 à 2 cm, sa coquille en spirale sombre caractéristique est ornée de rayures qui suivent ses courbes.

      Bigorneau

     

    Comme tous les coquillages, le bigorneau se mange ultra frais. L'indice qui vous garantit sa fraîcheur est de vérifier que l'opercule à l'entrée de la coquille est bien fixé et que le bigorneau dégage une odeur fraîche et saline.

    Préparation

    Lavez les coquillages en deux fois, à l'eau courante claire, afin de les débarrasser de leurs impuretés.
     
    Pour la cuisson, plongez les bigorneaux à hauteur dans de l'eau froide additionnée de sel (une poignée par litre). Attendez la première ébullition, retirez du feu et laissez reposer cinq minutes. Après avoir retiré l'opercule, vous pouvez déloger le mollusque et vous régaler.
     
    Simplement picorés une fois blanchis dans l'eau avec un aioli ou une tartine de pain de seigle et de beurre salé, les bigorneaux peuvent également être cuisinés une fois sortis de leur coquille.Tout comme d'autres fruits de mer, les bigorneaux sont excellents sautés au beurre dans une poêle bien chaude avec de l'ail et du persil.
     

      Bigorneau

     
     
     
    Accompagnés d'autres coquillages, les bigorneaux peuvent faire un délicieux.
    Mieux vaut les consommer dans les 24 h après l'achat, les fruits de mer étant très sensibles aux changements de température. Conservez-les maximum 48 h au frigo.
     

    Valeurs nutritionnelles pour 100g

    Avec 108 kcal pour 100 g de chair, le bigorneau est un aliment très intéressant car il apporte beaucoup de nutriments essentiels pour un minimum de calories. Véritable petite bombe de vitamines (en particulier la vitamine B12, essentielle à la croissance et à l'équilibre du système nerveux), il est également une excellente source de cuivre.

     

     

    Noix de Saint-Jacques

      Bigorneau

     

    Coquille ou noix ?

    Dans le langage courant, la coquille Saint-Jacques est appelée noix une fois décoquillée. En réalité, ce mollusque est constitué de deux parties principales : le muscle et le corail. Le muscle est la partie noble de la Saint-Jacques que nous consommons, c’est la noix. C’est le muscle qui permet l’ouverture et la fermeture des coquilles. Le corail correspond à la glande génitale de la Saint-Jacques. Il est lui-même constitué de deux parties : l’une mâle (de couleur blanchâtre chez l’espèce Pecten maximus) et l’autre femelle (de couleur orangée chez cette même espèce). La Saint-Jacques est donc hermaphrodite.

    Sa composition nutritionnelle

    Peu de lipides. Les noix de Saint-Jacques sont peu caloriques : elles contiennent très peu de lipides (moins de 2 g pour 100 g) et la majorité d’entre eux sont bons pour notre corps (comme les oméga-3 par exemple), en particulier pour notre système cardiovasculaire.

    Des vitamines et des minéraux. Les Saint-Jacques sont sources de vitamine B12 et de minéraux comme le phosphore (minéral indispensable à la croissance des os et des dents) et le sélénium (connu pour ses propriétés antioxydantes).

    Pour 100 g Calories (kcal) Protéines (g) Glucides (g) Lipides (g)
    Noix de Saint Jacques cuite 120 23,2 3,2 1,6

    Sa saison

      Bigorneau

    En France, la règlementation entourant la pêche des coquilles Saint-Jacques est très stricte. La période de pêche démarre le 1er octobre et se termine le 15 mai, et les pêcheurs doivent détenir un permis spécifique. Vous pourrez donc, durant cette période, trouver des Saint-Jacques fraîches, meilleures en goût ! La taille de la coquille lors de la pêche est également règlementée : en France, il est interdit de pêcher une coquille de moins de 11 cm (la coquille Saint-Jacques met environ 3 ans à atteindre cette taille !).

    La règlementation permet aujourd’hui d’appeler les noix de pétoncle « coquilles Saint-Jacques », car ces deux mollusques appartiennent à la même famille (même si elles constituent bien deux espèces différentes). Leurs qualités gustatives sont cependant différentes.
    Pour reconnaître les « vraies » noix de Saint-Jacques, observez la coquille : si l’une des deux valves est bombée et l’autre plate, il s’agit d’une Saint-Jacques Pecten maximus. En revanche si les deux valves sont bombées, il s’agit d’une noix de pétoncle.
    Si vous achetez des coquilles surgelées, observez leur provenance : les noix de pétoncle proviennent généralement du Canada, d’Argentine ou du Pérou, alors que les Saint-Jacques Pecten maximus sont pêchées entre la Norvège et l’Espagne.

      Bigorneau

    Sa conservation

    Les coquilles Saint-Jacques fraîches entières se conservent 48h au réfrigérateur. Il est conseillé de les déposer dans le réfrigérateur sur la partie creuse de la coquille.
    Elles peuvent aussi être congelées. Dans ce cas, il est recommandé de les décongeler dans du lait.

    Sa consommation

    Les coquilles Saint-Jacques fraîches doivent être ouvertes juste avant leur consommation. Il faut ensuite ôter ce qui entoure la noix. Vous pouvez demander à votre poissonnier de les préparer.
    Côté prix, les coquilles Saint-Jacques sont plutôt abordables hors des fêtes de fin d’année.Le prix varie selon la saison ou le temp.

     

     

     

     

     


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  • Les huîtres creuses

    Les huîtres creuses sont les plus répandues dans nos eaux côtières et les plus consommées. En France, comme dans une majeure partie du monde, l’huître commercialisée est l'huître Crassostrea gigas, huître creuse originaire du Pacifique du nord-ouest.

    Les huîtres creuses

     

    Elle a été introduite en France dans les années 1970 après la disparition de la Crassostrea angulata, dite aussi huître Portugaise, qui était très présente en France avant d’être totalement disséminée par une maladie fulgurante.

    Les Crassostrea gigas se reproduisent notamment dans le bassin d'Arcachon et sur les côtes charentaises et vendéennes et sont élevées sur l'ensemble du littoral. On trouve l'huître creuse le long du littoral et de préférence près d'une embouchure de cours d'eau ou d'une incision dans la côte.

    Les huîtres plates

    Les huîtres plates, Ostrea edulis, étaient les seules huîtres connues en France jusqu'au siècle dernier. Considérées aujourd'hui comme les plus rares, elles sont élevées en Bretagne sous le nom de Belon. L'huître plate, contrairement à l’huître creuse, préfère les eaux plus profondes.

     

     

    Calibre de l'huître creuse

     

    Les calibres

    Le calibre définit la taille des huîtres : de 0 à 5 pour les huîtres creuses, de 000 à 6 pour les huîtres plates. Plus le numéro est petit, plus la taille de l’huître est importante.

     



     

     

     

    Calibre de l'huître plate


    Il n’existe pas d’accord interprofessionnel concernant le calibrage de l'huître plate, mais une règle d’usage professionnelle.

    L’indice de chair

    On appelle Indice de Chair le rapport entre le poids de la chair égouttée et le poids total de l’huître. L’indice de chair varie d’une huître à une autre en fonction notamment de son site et de son mode d’élevage.
    On différencie par exemple les huîtres fines (dont l’indice de chair est compris entre 6.5 et 10), qui sont moyennement charnues, et les huîtres spéciales (dont l’indice de chair est supérieur à 10.5) qui ont un volume de chair plus important.

    L’huître se consomme toute l’année selon ses envies.


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  •                                                 Il suffit de 15 minutes de baignade

     

                                                                              

     

    Il suffit de 15 minutes de baignade pour bénéficier directement de la parfaite composition minérale de l'eau de mer. Inutile de la boire, à ce stade : des travaux menés à Bordeaux dans les années 1960 ( des professeur ) ont montré que la pénétration des ions négatifs présents dans l'eau de mer par la peau était augmentée dans une eau de mer chauffée entre 37 et 40 °C : les pores de la peau se dilatent au bout de 15 minutes, laissant entrer les ions négatifs qui agissent immédiatement. Les ions sodium et potassium, par exemple, atteignent les vaisseaux capillaires et parcourent notre organisme, se fixant de manière sélective, là où l'on en a besoin – le magnésium et le potassium dans les muscles, le calcium sur les os.

    Cette pénétration transcutanée des ions négatifs augmentée par la température de l'eau a été confirmée dans les années 1970 par le professeur Guelfi, à Rennes. Ces travaux sont cités dans « La Thalassothérapie, Idées reçues » d'Yves Tréguer, médecin et thalassothérapeute (Éditions Le Cavalier Bleu, janvier 2003). La captation des ions négatifs par l’organisme fatigué favorise ainsi le renouvellement naturel des cellules. L’organisme se recharge et retrouve son énergie.

    2. Une cure de jeunesse et plus de tonicité pour la peau

    « La pénétration de ces ions contenus en grande quantité dans l'eau de mer permet de constituer une réserve dans l'épiderme, qui retarde le vieillissement des cellules et aide au maintien de la jeunesse de la peau. » Si l'eau est fraîche au contraire, la pénétration des minéraux dans l'organisme est moins importante, mais le froid renforce mieux la tonicité de l'épiderme. Pour atteindre les 35 °C, il faut se tourner vers la thalassothérapie. En France, la température de l'eau en bord de mer n'atteint pas les 34 degrés de La Havane en été... et tourne plutôt autour des 15 degrés. Mais l'assimilation des minéraux s'effectue déjà dans une mesure moindre. La richesse de l'air marin en oligo-éléments participe d'ailleurs à la dilatation des capillaires, ce qui augmente les échanges généraux entre l'organisme et le milieu marin.

    3. Une plus belle peau et l'apaisement des affections dermatologiques

    Le bain d’eau de mer apporte à la peau hydratation, éclat, bonne mine, et accélère la cicatrisation grâce notamment au zinc (anti-inflammatoire). Le sel contenu dans l’eau de mer, lui, a un effet astringent qui accélère la cicatrisation – cela a été documenté par des chercheurs – et exfoliant (on peut d’ailleurs s’en inspirer pour un gommage fait maison), ce qui rend la peau douce et lisse. En thalasso, l’eau de mer (filtrée) soigne les maladies comme l’acné, l’eczéma, l’herpès, le psoriasis, l’urticaire, les irritations et démangeaisons.

    4. La détente musculaire et la réduction de vos douleurs

    Pour cette raison, nager dans la mer apporte une détente musculaire renforcée par rapport à la piscine. C'est le meilleur moyen de récupérer après une séance de sport et d'éviter les courbatures. L'eau de mer répand dans l’air du brome, qui décontracte les muscles. En cas de pathologies, toujours, la thalassothérapie (eau de mer chauffée et soins complémentaires tels que massages et enveloppements) et les cures thermales (eaux de source) renforcent ces effets. Des études en ont démontré l'efficacité chez des patients atteints de douleurs dorsales (2006), lombalgies (Ligue européenne contre le rhumatisme, 2009), arthrite (2003), arthrose...

    5. Un effet relaxant et anti-stress, une humeur plus équilibrée

    L'effet relaxant d'un bain de mer s'observe dès dix minutes grâce au bruit des vagues, au flottement dans l'eau et aux oligo-éléments. Une association qui permet de se libérer de nombreuses tensions physiques et psychologiques. La richesse de l'eau de mer en iode permet également de stimuler l’action de la thyroïde, ce qui aide à la diffusion harmonieuse des hormones dans l'organisme. L'air marin est aussi chargé en soufre, qui apaise l'organisme et le moral. À la clé : un effet direct sur la dépression, l'insomnie et les troubles de l'humeur.

    6. Une meilleure circulation sanguine et lymphatique

    Comme pour les bienfaits sur la peau, la pénétration des minéraux s'associe à la fraîcheur de l'eau et à l'effet de la nage pour réduire les symptômes de jambes lourdes, rétention d'eau, cellulite et mauvaise circulation. Nager dans l'eau salée est un excellent moyen de drainer le corps. Les circulations sanguine et lymphatique sont stimulées, on évacue les toxines et on réduit la cellulite.

    7. Des défenses immunitaires boostées

    Le phytoplancton, des organismes végétaux qui vivent en suspension dans l’eau, libère dans la mer des composés biochimiques aux propriétés antivirales et antibactériennes. Des recherches ont permis aussi d'évaluer ces effets, même s'il reste encore de nombreux processus biologiques à mettre en évidence. L'eau de mer soulage les affections nasales et si vous êtes bronchitique ou asthmatique, à condition de gérer le choc de la température, un bain de mer vous fera ressentir des effets thérapeutiques instantanés.Chauffée à une température étudiée , l’eau de mer permet d’éviter la transmission des maladies. Mais le système immunitaire est déjà stimulé par une bonne baignade

     

                                                                            

    8. Boire la tasse : plus de bienfaits que de mal !

    À ces bénéfices sur la santé s'ajoute le fait que, si vous ingérez sans le vouloir un peu d'eau de mer par le nez ou par la bouche, vous ne ferez que recevoir des minéraux en plus ! Contrairement à une idée répandue, le sel lui-même est présent dans la mer sous une forme qui ne vous fera que du bien. Différent de la forme atomique du sel de table, c'est un sel hautement assimilable. L'eau de mer en ampoules, en injections nasales ou en intraveineuses, en pulvérisations sur la peau ou en boisson est un remède. Ne l'oubliez pas quand vous vous baignez.

    Et les microbes ? Il y en a, mais la mer possède de puissants mécanismes d'auto-régénération . « Les virus humains ne tiennent pas dans l'eau de mer , souligne  dans cette interview filmée le fondateur et directeur de l'Ecole des sciences biologiques de la santé, le professeur Trino Soriano. Si la mer ne se protégeait pas elle-même, il y aurait des épidémies au bord des plages. »  C'est ce qui explique qu'on peut la boire dans des endroits bien choisis. Pour éviter le bain de miasmes collectif, car les eaux côtières contiennent bien des virus et bactéries, évitez les plages du sud bondées et baignez-vous à marée haute en dehors des heures de pointe. Vous profiterez aussi au mieux des rayons solaires, sans   crème ni coups de soleil.


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